Perles de Gascogne actrice du made in France et de l’économie circulaire – Article Les Échos 25/05/2021
Les Échos Entrepreneurs représente la section du quotidien spécialisée dans l’actualité des start-up, des innovations et des tendances des marchés de produits et services. La journaliste Jennifer Matas dévoile en cette fin de printemps un article sur la fameuse mention » Made in France « .
On y apprend notamment que les consommateurs sont de plus en plus friands de ces produits. Par ailleurs, leurs attentes concernant la qualité ne cessent de croître. Ainsi, les marques françaises continuent d’améliorer leurs offres et l’attention portée à leurs modes de production. En conséquence on assiste à une véritable émulation dans tous les domaines d’activité pour répondre aux désirs des français.
L’article prend en exemple 3 entreprises dont Perles de Gascogne, pour mettre en lumière l’importance du circuit court. De même, la production de notre huile de prune illustre l’économie circulaire via la valorisation des déchets végétaux.
Vous trouverez ci-dessous la partie de l’article présentant notre entreprise.
Les marques jouent la transparence
La définition du Made in France (MIF) dans le Code des douanes est claire. « Est considéré comme Made in France tout produit dont la dernière étape substantielle a été réalisée en France et dont au moins 45 % de la valeur ajoutée est originaire de la zone », explique Charles Huet, cofondateur de La Carte Française, une carte cadeau 100% MIF. Cela ne concerne donc pas nécessairement les matières premières du produit. Une chemise pourra être estampillée Made in France si sa conception est française, peu importe que son coton soit bangladais et ses boutons chinois.
Toutefois, les attentes et les exigences des consommateurs sont croissantes. « Des entrepreneurs innovants ont ouvert la voie et tiré les standards vers le haut », constate Charles Huet. En particulier dans le textile – on pense au Slip Français, 1083 ou encore de l’Atelier Tuffery – largement touché par les délocalisations massives dans les années 1980, mais aussi à la cosmétique et l’agroalimentaire – historiquement restés forts en France – ou encore aux biens d’équipement.
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